Podcast – Episode n°16 : On n’optimise pas sa vie
C’est parti pour un épisode au cours duquel je m’intéresse aux raisons pour lesquelles on peut se trouver dans cette recherche limite obsessionnelle d’optimisation, même dans la sphère privée.
C’est parti pour un épisode au cours duquel je m’intéresse aux raisons pour lesquelles on peut se trouver dans cette recherche limite obsessionnelle d’optimisation, même dans la sphère privée.
Se tromper et être dévalorisé.e sont deux choses distinctes. Que tu réussisses ou pas dans cette tentative ne fait pas de toi quelqu’un de mieux ou moins bien. C’est le sujet du jour dans le nouvel épisode de podcast !
Pour ce premier épisode de l’année, je rebondis sur une expression qui a tendance à être normalisée sur les réseaux : « la « petite » vie ». C’est une expression qui me fait serrer les dents…encore plus quand je l’entends sortir de la bouche de coachs qui sont censé.es être bienveillant.es.
Un nouvel épisode est en ligne pour parler des angoisses nées de la mise en place d’objectifs qui ne nous ressemblent pas, et voir ensemble qu’on peut aussi avancer à notre façon, et pas forcément comme il est attendu d’avancer.
On m’a plusieurs fois demandé si je croyais au destin. Ces dernières années j’avais envie de répondre par la positive mais mes réponses étaient toujours vagues, peu convaincantes. Et puis j’ai regardé le documentaire sur Arte retraçant la vie d’Ella Fitzgerald.
Je suis toujours étonnée quand je rencontre des personnalités qui à la fois ont un avis sur beaucoup de choses, et ensuite ont un besoin irrépressible de convaincre l’entourage que cet avis soit le bon…
Plusieurs fois j’ai entendu :
« A force de se choisir on ne pense plus aux autres »
A l’époque je n’ai pas vraiment su quoi répondre…aujourd’hui, je pose cette réponse dans le prochain épisode de podcast ! Et je vous sors un scoop : je ne suis pas d’accord 😜
S’émerveiller est l’un des outils les plus puissants pour s’ancrer dans le moment présent. Un excellent moyen d’appuyer sur pause.
Depuis quand n’avez-vous pas pris le temps de vous émerveiller ?
« Soyez la meilleure version de vous-même »…vous la sentez la pression, là ? Elle est bien cachée, c’est vrai.
Je vous la formule différemment : « pas sûr que vous soyez heureux.se si vous n’êtes pas au max de vos capacités ». C’est sans doute un peu plus clair..?
Et si c’était ok de s’auto complimenter ? Et si on arrêtait d’être toujours dans l’auto jugement ? Dans la dévalorisation de soi ? Dans le « j’aurais dû » ?
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